J'ai passé une merveilleuse semaine, stage de perles dont je vous parlerai prochainement, visite à de la famille à Valence, une amie à Vaison la romaine, fait la connaissance d'une créatrice étonnante, visite d'une autre amie à Avignon.
Malgré tous ces bons moments, j'ai peu écouté les infos du monde, mais il y en a une qui m'a particulièrement attristée, c'est peut être le devinez vous ce qui se passe en ce moment à Gaza. J'ai reçu ce lien pour une pétition. Je n'ai pas de parti pris dans cette affaire, mais je ne peux pas rester insensible. Je mets donc le lien en ligne faites selon votre conscience et vos convictions.
http://www.avaaz.org/fr/gaza_end_the_siege/98.php?CLICK_TF_TRACK
Un texte que j'aime beaucoup et qui semble être de circonstance :
L’homme est fait pour aimer, c’est la seule réalité qui donne au monde sa consistance.
Rien ne se fait, rien ne commence tant que les hommes ne se sont pas reconnus.
La guerre n’est qu’une dangereuse maladie d’une humanité infantile qui cherche douloureusement sa voie.
La torture, ce dialogue dans l’horreur, n’est que l’envers affreux de la communication fraternelle. Elle dégrade celui qui l’inflige plus encore que celui qui la subit.
Céder à la violence et à la torture c’est, par impuissance à croire en l’homme , renoncer à construire un monde plus humain
Malgré tous ces bons moments, j'ai peu écouté les infos du monde, mais il y en a une qui m'a particulièrement attristée, c'est peut être le devinez vous ce qui se passe en ce moment à Gaza. J'ai reçu ce lien pour une pétition. Je n'ai pas de parti pris dans cette affaire, mais je ne peux pas rester insensible. Je mets donc le lien en ligne faites selon votre conscience et vos convictions.
http://www.avaaz.org/fr/gaza_end_the_siege/98.php?CLICK_TF_TRACK
Un texte que j'aime beaucoup et qui semble être de circonstance :
L’homme est fait pour aimer, c’est la seule réalité qui donne au monde sa consistance.
Rien ne se fait, rien ne commence tant que les hommes ne se sont pas reconnus.
La guerre n’est qu’une dangereuse maladie d’une humanité infantile qui cherche douloureusement sa voie.
La torture, ce dialogue dans l’horreur, n’est que l’envers affreux de la communication fraternelle. Elle dégrade celui qui l’inflige plus encore que celui qui la subit.
Céder à la violence et à la torture c’est, par impuissance à croire en l’homme , renoncer à construire un monde plus humain
Général Jacques de la Bollardière
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